Actualités Médiévales

  • Agenda Créateurs XVIIIeme siecle

    Fresque médievale et Historique une dynastie en relief


    Aujourd'hui 9 Octobre


     

      · Oyez, oyez braves gens !

    Mademoiselle Constance expose à la Maison du Crieur, à Montauban du 7 au 28 octobre, en partenariat avec « Les amis des passions ».

    Vous pourrez y voir entre autres une sélection de costumes et accessoires 18ème créés par Mademoiselle Constance.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

  • Magazine du XXeme Siècle

    Photographes en Rhône-Alpes::[Place du Pont, au début du XXe siècle :  défilé des cuirassiers de la Part-Dieu]

     

    Le XXe siècle est une époque riche en évènements historiques qui ont marqué profondément le destin de la planète et n’avaient pas de précédent comparable. Guerres mondiales, rôle des grands États, développement des moyens de transport et de communication, progrès sanitaires, évolution démographique, conquête des airs et de l’espace, armes de destruction massive, génocides, tout concourt à faire de ce siècle une période exceptionnelle dans l’histoire humaine, en ce qu’elle n’aura laissé aucune partie de la planète à l’écart des bouleversements politiques et sociaux qui l’ont émaillée.

     

     

     

     

     

     

  • Fait divers

    Fresque médievale et Historique une dynastie en relief


    Aujourd'hui 20 Avril


    Ce  du 20 Avril 1879 un fait divers a sans aucun doute  intéréssé les premieres pages des journaux .

    Visite les faits divers en banlieue pour groupes

    Le crime de Montreuil

    Voici ce que publiait le Petit journal


    Jeudi matin, vers onze heures, M. S..., boucher ambulant, entrait dans la boutiqûe. d'un marchand de vin, lesieur P...,rue de la Deaune,
    à Montreuil, pour apporter saprovision de viande ;ne voyant pas-la femme P..., il alla à l'arrière-boutique.Là, ilaperçut lecadavre ensanglanté de là femme P... La tête était presque détachée du cou. Aux cris du boucher, les voisins accoururent. M.Tardif, commissaire de police, et la gendarmerie,prévenus, arrivèrent bientôt.Le marchand de vin, menuisier de son état,travaille à Fontenay. Il était parti, selon son ha
    bitude; on l'a cherché en toute hâte.L'enquête fut aussitôt commencée; un médecin constata huit blessures : cinq sur la poitrine, trois
    au cou, paraissant avoir été faites à l'aide d'un couteau pointu bien effilé et retourné dansles plaies.Le parquet de Paris fut informé, dans lasoirée:'
    Vers neuf heures, M. Macé, chef de la sûreté, arriva avec plusieurs de ses agents, et continua l'enquête avec M. Tardif pendant la nuit.
    Hier matin, MM. Bresselles, juge d'instruction ;Dulac, commissaire aux délégations, Deleins,médecin légiste, et le chef de la sûreté se rendirent de nouveau à Montreuil.

    • •Des voisins du marchand de vin avaient remarqué avant-hier matin, , à dix heures, deuxindividus, l'un âgé de vingt ans, vêtu d'un veston marron en velours, coiffé d'une casquette desoie, blond, imberbe, l'autre brun, de légèresmoustaches, vêtu d'une blouse bleue, coiflé d'une casquette, entrant dans la boutique deM. P...Au hout de dix minutes, ils ressortirent et retournèrent du côté de Paris. Tous deux étaientvenus mercredi à la même heure.Ces deux individus sont, à n'en pas douter, les assassins; car c'est quelques minutes après leurdépart que le boucher a, découvert le crime.Un panier, que la femme P .. avait apporté chez elle le matin même, a été trouvé dans l'arrière-boutique; il.contenait quatre litres d'eau-de-vie que la femme P... venait d'acheter à Montreuil. Unepairede lunettes bleues, qui avaient fait surnommer la femme P... la femme aux lunettes, ont- été trouvées brisées et pendant' le long du visage.Le docteur Deleins a constaté que la victime,assez forte, avait dû se défendre vigoureusement.Cependant aucun bruit, aucun cri n'ont été'entendus par les voisins, et le chien, assez* farouche,n'a pas aboyé un instant.Le tiroir au comptoir était-ouvert, et l'on avait enlevé 5 ou 6 fr. et une montre de femme en or qui s'y trouvaient ; on a laissé une paire de boucles d'oseilles en or enveloppées dans du papier.

    Les assassins sont montés au premier étage.' Ils ont ouvert et boulevérsé les meubles, mais sans y trouver un vieux porte -monnaie rouillé renfermant 175 fr. en billets et en numéraire.Ils ont pris sur la cheminée un revolver chargéde six coups petit calibre.Un verre de vin à moitié vide a été trouvé surune table à l'entrée de la boutique et un verre de kirsch à moitié vide faisant face.
    Ces deux verres avaient été servis aux assassinspar la femme P... qui reçut un premier coup decouteau à la première table, d'où une, traînée de sang allait à l'arrière-boutique.Les assassins étaient au courant des habitudesde la maison ; ils savaient qu'à partir de onze heures, quelques plâtriers et des porcelainiers venaient y manger ou boire.

    Mathilde, qui, jusqu'à ce jour, n'avait eu de culte que pour les hommes bruns, regrettait de s'être montrée si exclusive et admirait son sauveur en toute sincérité.Remis de son émoi, le petit-vicomte causait avec M. de Meillant, comme s'il voulait permettre à sa compagne de compléter son
    etude. -Il paraissait s'apercevoir que cet examen était favorable au jeune créole, et malgré sa qualité de soupirant, la cour qu'il faisait à la marquise de Ribas, un sourire sedessinait sur ses lèvres fines.Mathilde, cependant, venait de se lever, et s'adressant à Robert :
    — Monsieur, lui dit-elle, on doit être inquiet de ne pas me voir revenir et je suis,obligée de vous quitter... Mais je vous annonce la prochaine visite de mon mari... Ilvoudra certainement vous remercier lui-même du grand service que vous m'avezrendu... Quant à moi, j'espère vous revoir
    bientôt et vous témoigner de nouveau toute

    ma reconnaissance... Je demeure à l'hôtelFrascati, et je m'appelle la marquise de Ribas.M. de Meillant s'inclina silencieusement et conduisit Mathilde jusqn'à la porte de l'hôtel où se trouvait une voiture fermée qu'on venait de faire demander.
    Le petit vicomte, avant d'y monter à son tour, serra chaleureusement la main de
    Robert et.s'écria :
    —.Vous m'avez sauvé, monsieur, 

    Le corps da la victime a été transporté à. la Morgue. /Une foule: considérable ne cesse de stationner autour de la maison gardée par le mari.
    M. P.. ./un très brave homme, a donné aux magistrats quelques renseignements précieux au sujet d'une femme qui connaissait dans le pays
    des individus suspects répondant au signalement des deux assassins.Cette femme a dû étte retrouvée, hier soir, du côté de la barrière du-Trône. ' •
    De nombreux "agents parcourent les environs. D'après certains indices, recueillis hier soir pai M. Dulac, on se trouverait sur les traces de ca
    misérables. A demain de nomveaûx détails.

     

     

     

     

  • Récit d'un fait historique du jour

    Fresque médievale et Historique une dynastie en relief


    Aujourd'hui 20 Avril 


     

    Louis Baudry de Saunier — WikipédiaLe Recit d'un héros immortel


    Majesté,
    Le récit des exploits que le génie allemand a accomplis en cette nuit à jamais mémorable du 20 avril 1924, devrait sortir d'une bouche plus éloquente que la mienne. Je suis soldat et je suis ingénieur. Je ne suis ni Pindare ni Dante,  ces G;ermains incontestables d'ailleurs, pour chanter votre gloire comme elle le mérite. A peine suis-je Léonard de Vinci  un autre de nos grands arrière-grands-pères et je m'excuse
    de la sécheresse scientifique de mon rapport.

    Pour bien comprendre, de déduction en déduction, l'événement du 20 avril 1924, il faut que nous remontions à six ans, à 1918.

    Au mois de novembre de cette année-là, les Alliés pensaient avoirvaincu l'Allemagne! Leurs yeux étaient fermés par des coquilles de noix
    vraiment, car ils auraient dû voir, inscrits dans l'histoire du monde, ces mots en lettres rouges : « L'Allemagne n'est jamais vaincue. »

    En réalité, lorsqu'elle signa l'armistice de 1918, l'Allemagne fit un acte à la fois de haute humanité et de haute stratégie. Elle imposait
    aux Alliés la cessation de la guerre qu'ils lui avaient déclarée. Elle tarissait les torrents de sarg qu'ils avaient déchaînés. Elle les forçait à prendre
    enfin pitié des hommes. Ainsi témoigrait-elle une fois de plus aux Neutres, qui, eux, la jugent sans parti pris, sa douceur et sa bonté.

    Assez de larmes, disait-elle par là. Oh ! Assez de morts ! Assez de veuves !

    Oh ! Assez de pauvres petits orphelins !

    Mais. en même temps, l'armistice permettait à l'Allemagne de se recueillir, de chercher par quelle voie rapide, par quelle réalisation sou-
    daine, qui remplirait le Monde de stupéfaction et d'admiration, elle allait pouvoir réclamer aux événements son dû, c'cst-à-dire l'empire de
    la terre entière.Car notre Race devait, coûte que coûte, poursuivre les fins suprêmes que le Destin lui a imposées. Etant le Sel de la Terre, il lui fallait couvrir de Sel la Terre !    Continuer de lire
     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

  • Histoire d'un objet

    Fresque médievale et Historique une dynastie en relief


    Aujourd'hui 20 Avril


    une douille ....... une histoire.

    Cette simple douille de fusil est tout ce qui reste d’une cache trouvée lors des travaux dans les bâtiments anciens qui ont eu lieu lors de la création de la galerie marchande à Cuiseaux, reliant la rue Edouard VUILLARD à la Place de Pierre PUVIS de CHAVANNES.

    Dans les combles, une caisse de munition en bois a été découverte. Restaient quelques balles de 7.08mm pouvant être tirées par le célèbre fusil français Mas 36. La caisse a été remise à la Gendarmerie à l’époque. Mais une douille m’avait été offerte en souvenir. Etant enfant à l’époque, hors de question de me confier une munition non inerte.

    Pour l’Histoire,

    Cuiseaux a servi de cache d’armes issus des parachutages mais aussi d’armes et munitions ramassés après la débâcle de 1940 ou détournés des stocks de l’Armée d’Armistice par des officiers refusant la défaite. Pour les soustraire à la Commission allemande d’armistice qui visitait tous les casernements pour faire l’inventaire des armements, équipements, véhicules, essence, munitions, etc... pour les réquisitionner ensuite, des officiers français avaient organisé tout un réseau de cache à travers la Zone Libre (maisons, hangars, granges, grottes, etc…). Leur démarche était simple, tout camoufler pour reprendre un jour le combat. Peut-être cette caisse provenait du 151e RI caserné à Lons-le-Saunier en 1940/1942 dont certains soldats vont après la dissolution de l’Armée d’Armistice suite à l’invasion de la Zone Libre après le débarquement en Afrique du Nord des Alliés, vont venir à Cuiseaux pour prendre par à la Résistance, recrutés par Bernard MOREY.

     

    Si vous avez d'autres histoires

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  • Retour d'images

    Fresque médievale et Historique une dynastie en relief


    Aujourd'hui 19 Avril


     Aujourd'hui nous vous présentons un retour sur ......un evenement

    Le Clan d'Ivar

      C’est un camp off exceptionnel le week-end dernier que nous avons vécu où nous avons reçu quelques uns de nos amis de Hugin et Munin - Le clan.

    Que de bons moments partagés ! De l’amusement, des larmes de rire et d’émotion, du partage de connaissances et compétences, du froid et du chaud. Surtout un esprit fraternel de Clan à travers notre passion. Merci à Crom Cruach Solveig Halfreddottir, Dagmar, Skeggi Rhafnson et Bjärni d’avoir traversé la France pour venir sur nos terres.

    Peut être une image de 3 personnesPeut être une image de 9 personnes

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

  • Photos oubliées

    Fresque médievale et Historique une dynastie en relief


    Aujourd'hui 2 Mai


    Peut être une illustration de 1 personne

    Photo oubliée de Kent Woman

    Cette superbe photo a été trouvée dans un magasin d'antiquités à King's Lynn, Norfolk. Ça a été pris par F. Valery qui a opéré à Beckenham et Bromley entre 1901 et 1907. Heureusement pour moi il y avait un nom au dos et j'ai pu identifier son sujet.

    Sarah Twelvetree est née à Lee, Kent en 1868 de Thomas Dixon Twelvettee et Sarah Ann Balls. Thomas était un charpentier qui avait quitté son village natal de Eye, Northamptonshire dans les années 1850 pour vivre dans le Kent. La vie de Sarah a pris un départ tragique à la mort de sa mère. En regardant les dates de décès, il semblerait qu'elle soit morte soit en couches, soit des complications de la naissance de Sarah.

    En 1871, nous trouvons Sarah vivant avec sa tante à Swanley, Kent.

    En 1873, son père épousa Emma Goodridge, et ils ont eu une fille Jessie en 1874. En 1881, nous retrouvons la famille vivant à Belmont Place, Greenwich. En 1891, elle travaillait comme domestique pour Mme Mary Brooker de Belmont Hill, Lee, Kent, une veuve vivant de ses propres moyens.

    En 1897, elle épousa Benjamin Soloman dans le district d'enregistrement de Dartford. En 1901 nous retrouvons Sarah vivant seule à Eglinton Road, Plumstead, on ne sait pas où son mari était logé.

    En 1902, ils ont eu une fille Dorothy Sarah Soloman née à Plumstead. La tragédie a frappé en 1906 alors que Sarah est décédée à seulement 38 ans. Soloman s'est remarié en 1909 avec Charlotte Agnes Hillier, ils ont eu une fille Gertrude en 1911.

    Une recherche rapide sur Ancestry a révélé que j'avais la bonne personne, car une photo de Benjamin et Sarah avait été mise en ligne sur son profil. Cette photo correspond parfaitement à celle-ci ! Le fait qu'elle n'ait eu qu'un seul enfant rendait improbable que je puisse réunir la photo à un descendant. Sa fille a épousé William Alexander Frier et ils ont eu deux fils Ian et Gerald nés à Croydon. J'ai trouvé un membre de ma famille sur Ancestry mais malheureusement, je n'ai pas eu de réponse.

    J'espère pouvoir réunir cette photo, mais je suis aussi heureux d'avoir pu partager son histoire de vie avec vous aujourd'hui pour m'assurer qu'elle ne soit jamais oubliée.

    La photo a été restaurée et coloriée par Aku Smith, l'original peut être vu dans les commentaires.

     

     

     

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